Duriti arriva à fond de train dans cette clairiere, ou il le savait, il serait bien recut.Il tenait toujours sa mère par la bride.IL s'arreta au bord de la clairiere, et enleva tout l'arnachement de sa vieille mère.
Mère...tu est libre, galope, part là, les elfes prendront soin de toi le temps qu'il te reste...Et l'horreur de la guerre ne te ratrapera plus là bas...
La dessus, il la poussa gentillement, et elle, semblant comprendre, partie dans un grand galop, jusqu'à l'autre bout de la clairiere ou elle ce retourna.Et resta de profil, à regarder son fils, sans bouger.
Alors Duriti sortie de sa sacoche un toile blanche, et tout un tas de peinture diferente.Il dressa le tableau de l'instant qu'il avait sous les yeux.La lune argentée des elfe de lune, dans le ciel.La tristesse des fleurs fermé, tout en sombre, sauf sa blanche mère, là bas, qui le regarder, de son oeil noir profond...Et derniere elle, la foret immensse.
Lorsque, quelque heure plus tard, il eue fini, elle parti.Lui partie aussi...