Un sentier dans la forêt

Il venait d'entrer dans cette forêt. Elle était belle il n'y avait rien à dire, et a chaque fois qu'il avait besoin de calme ou de reflechir c'est ici qu'il venait. La forêt l'appaisait, et malgré les apparence et l'absence d'oreille chez lui, il restait un elfe de la Lune et donc affilier à cette forêt. Il aurait bien aimer pouvoir couper les liens qui le reliait à son peuple, et oublier la guerre mener par les hommes toujours plus avides et à ce roi tyrannique que les execution et extermination des peuples ne genait pas. Heuresement il y avait des gens pour lui tenir tête, mais la plupart des elfe était des peureux et se cachaient dans les forêt en attendant l'aide des anges qui n'arrivait toujours pas. Lui? Lui il reflechissait à un plan pour approcher le roi, le tuer si possible pour l'obliger à leur rendre ses terres, pour se venger des humains qui l'avait fait souffrir. Il n'aurait jamais penser hair un jour les humains comme ça, et pourtant il en était venu au point de penser que l'un ne rattrapait pas l'autre et qu'on ne pouvait rien dire ni rien partager avec eux...
Il poussa un long soupir, et s'appuya contre un arbre. Il lui faudrait une arme, mais il n'avait guère envie pour le moment de se rendre dans une quelconque ville pour acheter une arme. Il aimait se battre malgré sa nature pacifique et son air detaché de tout. Enfin pour le moment il avait juste besoin de calme, il ne demandait rien d'autre que cela. Mais aller savoir pourquoi il doutait d'être tranquille très longtemps, même ici.
Il leva les yeux sur le feuillage de l'arbre où il était appuyé puis eu un petit sourire...qui disparu bien vite pourtant, la situation ne lui autorisait pas de sourire. Une guerre se deroulait là, hors de l'abri des arbres qui, qui sait peut-être que demain cette forêt appartiendrais aussi aux humains...et cela fit renaitre la rage en lui. Il passa ses mains sur ses oreilles...c'était pour parvenir à ses fins qu'il avait decoupée ses dernières...et il y arriverait!

La fête avait prit un tournant peu recommendable, si bien que Duriti avait préférait partir que de ce voir reprocher une quelconque chose par son roi, ce qui arrivait d'ailleur assez souvent...Mais il s'inquiété pour Kity...Elle avait beau être avec hikaru/kaoru, elle n'en restait aps moins l'elfe qui avait détruit la moitier du chateau juste pour pouvoir s'évader, et juste avait le pouvoir de la lune.
Il était alors arriver jusqu'à cette forêt, qu'il affectionner particulierement, parce qu'ici, il exister encore des choses que les hommes n'avait pas put arracher au opuvoir si étrange des elfes de lune...Des vestiges qui probablement ne s'éteindrait jamais...Mais le regard de Duriti fut attirer par un halo de lumiere blanchâtre vers un arbre proche.Adosser à ce dernier, on ne pouvait s'y tromper, un elfe de lune était plonger dans ses pensée, et ne semblait pas l'avoir apercut.Il regardait ses oreille, trancher semblait-il...Il ne voyait pas l'interrer, un elfe de lune avait de sa race bien plus que des oreilles, et on ne pouvait se cacher d'en être un...Mais cette scene semblait si étrange, et si belle, qu'il ne put s'empecher de sortir sans bruit son materriel de peinture, et sa toile vierge, une de celles qu'il avait toujours sur lui.
Toujours silencieusement, il commenca à peindre cette scene aussi magnifique que triste, en pensant toujours à cette pauvre et puissanbte kity.Au travers de ce qu'il peignait, il essaya de faire voir à la fois la puissance inconsidérer de la lune, qui planait toujours sur les elfe de lune, et aussi la tristesse, puis, il fit en sorte que tout semble pencher vers l'elfe, à commencer par le feuilage qu'il regarder.Ainsi, on avait l'impression que toute la végétation ce rapeller encore de ses vrai occupant.Lorsque, quelque heures plus tard, il eut fini, il se rendit compte que l'elfe l'observer...C'était logique, d'ailleur, mais il ce demander pourquoi il était rester en place malgrès tout...Peut-être savait-il que les centaures sont meilleures que les hommes?Il rougit, mais ne pût briser ce silence magnifique et mystique en parlant..;Il ce contenta de regarder l'elfe d'un air méfiant, tout en tournant le tableau vers lui, afin qu'il puisse admirer son travail.

Il était plonger dans ses pensées, il ne l'avait pas vu arriver...pourtant un bruit, attira son attention, doucement il tourna la tête. C'est là qu'il le vit, ce centaure au yeux vairons commes les siens...Il l'observait, ne se rendant même pas compte que Miku l'observait aussi à son tour, les sourcil froncés. Que faisait-il sur cette toile...
Miku avait un controle de soi et un calme exeptionnel, et dans cette forêt il ne parvenait pas à liberer sa colère, bien qu'il aurait pu vu que le centaure avait amener son arc avec lui. Pourtant il resta immobile, comme statufié le regardant peindre sans un mot.
Lorsque le centaure pris enfin conscience que le jeune elfe de la Lune le regardait aussi il ne sourit pas, ne parla pas il rougit. Ces rougeurs qui montrait sa gène. Pas de doute concernant le fait qu'il savait a quelle race appartenait Miku. Se dernier se leva doucement, sans un mot, epousseta son pantalon puis s'approcha de sa demarche calme, ses cheveux gris reprenant leur place dans l'encadrement de son visage. Il jeta un oeil à la peinture que lui montrait le centaure et hocha la tête deux fois. Sans sourire. Il ne souriait guère beaucoup, et son regard vairon n'exprimait pas grand chose. Mais il était touché par ce que le centaure avait su remettre sur sa toile...la tristesse de ce lieu, et lui au centre. Il ne se doutait pas que dans cette forêt où il n'avait jamais vu personne il rencontrerait quelqu'un qui ne soit pas elfe.
Le centaure était mefiant mais Miku n'avait même pas d'arme, simplement un scpetre banal pour user de sa magie lorsqu'il en aurait vraiment besoin.
Il n'était guère doué pour complimenter les gens, mais il lacha quand même:
-Joli...vous etes doué...
Il regarda à nouveau le tableau pendant de longue minutes, puis sans lacher des yeux la peinture il demanda:
-C'est rare de voir des gens ici...surtout lorsqu'il ne sont pas elfe...
Ce n'était pas un reproche, ni une critique, juste une constatation.

» Dans les rues de la ville.